Patrice Faubert
Le monde politique est à vomir
Et tout gouvernement, hier et maintenant
Il y a, plus que jamais, à sa tête, un tyran
Au fond, ce que veulent beaucoup de gens
Avec tout un idoine encadrement
Voleurs et voleuses, gangstérisme, de l'escroquerie
Abus de biens sociaux et publics, de la filouterie
Pillage, carnage, des génocides, des guerres
S'en mettre plein les poches, grosse merde au derrière
L'on ne redira jamais assez de le redire
Gauche, extrême gauche
Droite, extrême droite
Avec son centre pour les unir
Tout étant entre leurs mains
Tout manipuler pour faire le malin
Faux ou vrais attentats
Pour faire remonter la cote d'un potentat
Du Secret Service des services secrets
Voulant se faire passer pour des niais
Et peu importe du dégât
Seul peut importer le stratagème du résultat
Et par/pour des pays interposés, en via
Tout ce qui peut-être manipulé
Tout ce qui peut-être utilisé
Pour toujours davantage mieux gouverner
L'a, le sera, l'a été
Et jusqu'à un certain point
Tout ou presque pouvant s'y laisser faire
Afin, en toute affaire, que le capital y retrouve ses repères
Et parfois du faussement dans le supprimé
France, 1963, création Cour de sûreté de l'Etat
Puis, en 1981, soi-disant Cour volatilisée
Tout, sous le capital, de nom, sait changer !
Dans le peu ragoûtant
Chouiner dans la matonnerie étatique
Quand tout y est prévarication homérique
De tout détournement des fonds publics
Hommes et femmes politiques s'y soûlant
Faudrait se débarrasser des femmes et hommes politiques
Toute démolition célinienne le confirmant
Jamais s'y gameller en faux contrevenant
Toujours du fruste et du peu avenant
Le monde politique est à VOMIR
Le monde politique est sans avenir
Ainsi, devenant du purement économique
2019
55 millions de tonnes de déchets électroniques
Ont été produits
Dans le monde suicidé, c'est ainsi
Quand dix-sept pour cent
Du collecté, du recyclé, à peu près correctement
Car, tout est à priori, finalement
1943
La police allemande
Trois mille hommes en France occupée
La police française de Vichy
113000 hommes, qui de toute justice, firent fi
Et surtout pour les sales besognes
Parfaite présence de toutes les trognes
Et selon les fluctuences
Avec l'ignominie en diverses flatulences
Toute influence étant comme une mode
La mode de toute influence !
Il ne s'agit plus
De construire des imaginaires
Car, ils sont engrammés
Conditionnés, formatés, imités
Par des économies politiques réactionnaires
Avec leurs mandarins et leurs caciques
Il s'agit donc de les défaire
Dans du révolutionnaire libertaire
Car le libre arbitre est une chimère
Et la liberté encore plus amère
Chacun, chacune, voulant sauver sa peau
Mais quelle peau ?
Quand même le pourri
Est atteint par le pourri ?
Comme la décarbonation
De la carbonatation sans natation
Quand TOUT est déjà bien carbonisé
Il ne s'agit plus de métamorphiser
Quand nous sommes patachons de l'irréalité
Le monde devenu une barbarie télévisée
De feu la Rome antique, la barbarie si faussement redoutée
De tout et à tout artefact, la barbarie est invitée
Comme si
Dès la naissance, le prix, il fallait déjà le payer
Cela pourrait cependant, tout à fait, s'éviter
Cela a d'ailleurs existé, au mésolithique
Femmes chamanes, déesses, égalité et parité
Au tout partagé et sans autorité
Certes
Chasse et cueillette, matrilinéarité, depuis, l'on a régressé !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/)
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Published on e-Stories.org on 08/18/2024.