Patrice Faubert
Prédation en anonymisation silenciation
Toutes les tyrannies
Sont représentées dans le sport d'aujourd'hui
Le sport en continuation de la guerre
En temps de paix, on ne peut plus clair
Tout y est dégueulasse
La honte attire la populace
Jeux olymfrics ou diverses coupes du monde
Atrocités oubliées du tout immonde
Chine, un million de personnes
Dans des camps de rééducation, Ouïghours
Mais tout pays a son cachot, son four
Soudan, huit millions de personnes déplacées
Douze mille personnes tuées
Sept cent mille enfants dénutris
Et c'est en 2023, et tout s'y marie
Corée du Nord
Travaux forcés pour enfants
Et la terreur en cinéma permanent
L'Afghanistan
28 millions de filles et de femmes
Sans aucune existence véritable, de l'infâme
Monde, Europe, Afrique, Asie
Amérique, tous les pays
Avec leurs ouvriers et ouvrières du sport
Toute la journée à s'entraîner
De mêmes gestes sans cesse répétés
Avec du harcèlement, injures, blessures, l'équité s'y tord !
Des usines à champions et championnes
Opium du peuple, pour l'oubli du tout déconne
Tout y est dopage
Tout y est du mirage
Le cyclisme, risible, en étant l'outrage
Le monde est de plus en plus crétin
Dans les têtes, au berceau, l'on y met du Pétain
Ainsi aux USA
Cent millions de chrétiens évangélistes
Trente pour cent de l'électorat américain, ô fascistes
Il sait y faire conflit, le trumpiste
Comme un mauvais western raciste
Pas étonnant, si en 1940, si américaniste
Trente pour cent des films produits à Hollywood
Furent des westerns, sans ceux et celles qui les boudent
C'était proche de l'époque des colonies pénitentiaires
30 octobre 1935, France, et peut-être ailleurs
Des établissements surveillés pour mineurs
Droit de correction paternelle et dressage
En fait, des lois étatiques et économiques
Plus qu'une trilogie, parents, curés, la police
Avec l'armée et l'Etat, des milices des milices
Mais une population s'effondrant dans une espèce
Mais, pas, elle-même, l'espèce
Mais l'espèce peut finalement aussi disparaître
Par raréfaction de sa population, même du naître
Si seulement l'espèce des autoritaires pouvait disparaître
Si seulement l'espèce des non-autoritaires pouvait apparaître
Enfin un cercle vicieux, enfin un cercle vertueux !
Ainsi du cyberharcèlement contre des femmes
Osant avoir des opinions via l'Internet
En dit long sur la misogynie de mecs pas nets
Malgré le raisonnable ou la bêtise qu'elles incarnent
Insultes, menaces, de la destruction psychique
Silenciation à cause de l'anonymisation
Tout devrait être assumé
Pour le vomi, le supprimer, l'immobiliser
Avec son nom et son prénom, je l'ai toujours pratiqué
Sinon
Quel manque de courage
Quelle absence de plumage
Et de la couardise qui fait des ravages
Tout ce qui est anonyme devrait être refusé
Et la témérité d'être soi, seulement validé
Tout pouvant se dire, rien n'étant sacré
Aucun Zorro, pour l'égalité, tout du zéro
Ce défenseur des propriétaires et du tout faux
Tout ou presque, dans ce monde déboussolé
Est une horreur sans cesse renouvelée
Comme une petite fille qui est excisée
Et oui, toutes les quatre minutes, pendant que vous vaquez
Ce surtout en Afrique, tout existe et a existé
Milou était une chienne
Haddock aux expressions céliniennes
Milou, prénom de la première femme
De RG Hergé, ( 1907 - 1983 ) Georges Remi et sa Castafiore castrat
Antisémite, fascisant, Tournesol Auguste Picard et voilà
Et comme d'autres, il finit libéral
Retour vers le futur du capital
Il eut dans sa jeunesse un ami chinois
Peut-être un agent secret communiste stalinien
Perdu de vue, retrouvé en 1981, du compliqué, cette fois !
Patrice Faubert ( 2024 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )
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Published on e-Stories.org on 09/03/2024.