L'on ne peut pousser des cris d'orfraie
De tout ce qui nous terrifie d'horribles faits
Comme
Forces armées narcotrafiquées
Forces armées
Contre bandes armées
Souvent, tout y est bien mélangé
Ainsi
De tous les pays et de tous les gouvernements
En fait, aux mains des services du renseignement
Souvent du monde à l'envers
Du faire qui serait à défaire
Ainsi, enfants non maltraités d'Angleterre
Mais de leurs familles en marge pourtant retirés
Et par des institutions légales, gosses violentés
Donc, sous le faux prétexte de l'exploitation de sexualité
Et remis à des familles d'accueil maltraitantes
En fait, en lien avec de la précarité
Ou le plus souvent de la non-conformité
Avec des fratries séparées, suicidées, et des vies brisées
En 2011, 4380 enfants adoptés
Faux parents tyrans sans hospitalité
Mais comme partout, pays, dates, en généralité
Services sociaux anglais, ineptie et débilité
Avec comme ailleurs, de fait, des complicités
De toute une maltraitance institutionnalisée
Sociale, politique, et pour tout discriminer
Des tempêtes émotionnelles de foyer en foyer
De ses racines d'origine, au tout éloigné
Et dans beaucoup de pays, 2025, rien, ou si peu, a bougé !
1963, France, grève des mineurs
Le plus grand déplacement d'enfants
Solidarité, là, avec les grévistes mineurs
Nourriture et dons d'argent
Cent mille familles de grévistes en ferveur
23000 enfants dans des familles charmantes
Pour la bonne cause, cette fois, de façon édifiante
Collecte de fonds, en solution d'attente
Rien n'y était brimborion
Quand les grèves duraient plusieurs semaines
Et pour les enfants y trouver une adéquation
Malgré une extrême répression
Contre les travailleurs du charbon
De Gaulle, Pompidou, y firent des affronts
Mineurs aux cicatrices et brûlures
De vrais durs, mais abdiquer, ils durent
Sublimation, résignation, acceptation
Au tout contraint, au tout forcé
Contre un tout militarisé et CRSisé
Déjà, sur place, loisirs, église, travail, tout confiné
D'une fausse grande famille muselée
Et appartenant à une grande propriété
Bref, du national et de l'extranational
Avec un vrai internationalisme du capital
Comme de toute son immutabilité narcoterroriste
Paroxysme de tout Escobarisme étatiste
De l'El Chapo Guzman mexicaniste
Assassinats, corruption, enlèvements
Colombie, Mexique, autres pays, tout un renouvellement
Femmes et hommes politiques en consentement
Ou de l'élimination, selon les pays, purement et simplement
Et il faut aussi compter avec La'Ndrangheta
Et là, peu ou pas du repenti, voilà
Avec des cartels, tels des tardigrades se régénérant !
Les noms changent
Mais les pratiques vont se répétant
Et en prison des trafics s'y continuant
Quand même la DEA CIA, de l'impuissant
Où il faut, par sécurité, pucer ses agents
Avec des rivaux éliminés et de l'exporté
Mais déjà, en 1947, une filière française, trafic de cocaïne
Mafieux tout organisant de leurs diverses prisons
Avec du lupanar, et prostituées sur mesure
Complicité des hautes autorités qui en furent
Certes
L'Amérique du Sud n'est pas l'Europe
Mais la mafia est cosmopolite des marchandises et interlope
Tout finissant par s'unifier au tout salope
Et avec la cryptobiose des tardigrades
Et il en a environ 1340 espèces
De 0,1 à 1,2 millimètre que tout en dépèce
Protéines ultrarésistantes comme CAHS-8
Dsup, sans cassure de l'ADN, de l'infini à 8
Pouvant résister, mâles ou femelles, aux pires rayons
Avec bientôt toute son exploitation
Quand le tout petit
Renvoyant à l'espace et à son infini
Fini de l'infini, infini du fini
Des médicaments à l'astronautique
Toujours une utilisation technologique
Quand l'on pourrait avec un esprit critique
En faire d'autres utilisations, une autre politique
Tout pouvant s'utiliser
Ce qui importe, c'est la façon de l'utiliser !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )