Patrice Faubert
Zombification blabla sans datura sabbat
Faut sauver sa peau ?
Mais pour ce qu'elle vaut !
Tout est à vau-l'eau
Moi, qui des autres, suis le nigaud
Dans un monde rempli de fachottes et de fachos
Cependant
Que les gens qui reçoivent des proches
Sans au préalable, sinon, c'est moche
Fermer la télévision ou la radio
Ou autre, pour les oreilles, bobo
N'ont aucun respect pour leurs hôtes
Car, c'est vous/toi, que je vais voir
Et pas votre/ton téléviseur ou autre avoir
Sinon, comment vraiment communiquer ?
Ceci en dit long
De l'égocentrisme inconscient qui est souvent con
Sur une société
Ou personne ne sait plus écouter
Personne, même du côté professionnalisé
Et la société encourage cette indisponibilité
La solitude devenant encore préférable
De ce fac-similé si bien généralisé
Il en est ainsi dans des bars ou des cafés
Dans aussi beaucoup de restaurants
Pour les pauvres, surtout, évidemment !
Tout est devenu
Et plus que jamais du faux-cul
Comme dans tout ce qui peut se mesurer
Il y a, fort heureusement, des degrés
Tout le monde y est épinglé
Cela devient coton
De la société au tout con
Et le coton peut servir aussi
Pour la composition d'explosifs, c'est ainsi
Puissants, des missiles et moteurs des fusées
Pas seulement pour le textile
Du détournement guerrier toujours subtil
Au tout galapiat
Au tout pugilat
De toute une zombification sans datura
Ni bave de vipère ou tétrodotoxine sabbat
Nul besoin de se rendre en Haïti
Poisson fugu globe, jusquiame, drogues et poisons
La poudre de zombie c'est la désinformation
Un même effet psychique de conditionnement
D'étranges bibittes de toutes les mythologies
Et au fond tout est le castelet
Milliardaires marionnettistes toujours en radio-crochet !
Et contre tous leurs délétères effets
Il faudrait dix légions à la romaine
Chaque légion se composant de six mille péquins
Donc, là, pas militaires, mais en voulant la fin
Du rien à perdre, au jour, à la semaine
L'on peut toujours imaginer ce qu'il en adviendrait
Quoique, les ouvriers et les ouvrières, sont maintenant, fascistes
Pas tous et toutes mais beaucoup sont de cette piste
Du stalinisme au fascisme, avec un brin de libéralisme
Nonobstant, chaque être humain
Cent milliards de milliards de milliards
De particules élémentaires, sans charre
De l'émotionnel dans du computationnel
Uxoricide de notre femme la Terre
Absolument tout y est compétition
L'occasion, pourtant, n'y faisant larronne ou larron
Ainsi des trains pour les riches
Ou pour les pauvres, du pain et de sa miche
La SNCF y en fait l'éclipse
Premier juillet 2013 en éclisse
Maintenance des voies déplorables
Et selon les intérêts du rien comparable
Certes, tout est voué au cimetière
Le bon endroit, on le dit en yiddish
Car c'est bien là, qu'attend tout finish
Comme quarante pour cent du personnel autrichien
Dans les camps d'extermination juive, c'est pas rien
Mais tout fut petit à petit et par les alliés
Au tout presque dédouané, et trop vite oublié !
Patrice Faubert ( 2025 ) puète, peuète, pouète, paraphysicien ( http://patrice.faubert.over-blog.com/ )
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Published on e-Stories.org on 04/26/2025.